hip hop

  • 20Syl et Mr. J. Medeiros, pour la tournée de leur groupe AllttA en 2023
17 novembre 2023

A Little Lower Than The Angels, l’aventure de deux passionnés

En français : « juste en dessous des anges », AllttA est le duo formé par le nantais 20Syl (d’Hocus Pocus et C2C) et l’américain Mr. J. Medeiros (de The Procussions et thebandknives). Il se distingue par l’association internationale de deux artistes expérimentés aux influences variées : un DJ/beatmaker/graphiste et un rappeur/MC anglophone. Voici un portrait de ces artistes hors-normes.

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17 novembre 2023

La DJ Aïnhoa veut faire bouger les gens et les lignes

Le jeudi 23 novembre, la DJ nantaise Aïnhoa viendra mixer lors de notre première soirée « Are you Fragil ?#1 » à la Maison café. Fragil en a profité pour vous livrer le quotidien d’une artiste, tromboniste récemment devenue DJ, qui cherche à imposer son style et à faire danser les nantais·es !

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10 décembre 2021

Vertikal de Mourad Merzouki, les pieds sur terre sans en avoir l’air – Interview de Kader Belmoktar

Le 17 novembre dernier au Théâtre de la Fleuriaye à Carquefou, les danseurs de la compagnie Käfig jouaient Vertikal, du chorégraphe Mourad Merzouki. Entre danse hip-hop, escalade et envole, les danseurs ont défiés les lois de la gravité.Fragil est allé à la rencontre de Kader Belmoktar, danseur des premières heures de la compagnie Käfig et assistant chorégraphe.

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25 octobre 2021

The Falling Stardust d’Amala Dianor, entre danse et science fiction

Le 23 septembre, le Grand T accueillait le spectacle d’Amala Dianor intitulé “The Falling Stardust". Issu de la culture hip-hop, le chorégraphe franco-sénégalais choisit de provoquer la rencontre entre les danses classiques, contemporaines et urbaines dans une pièce tout droit sortie d’une autre galaxie. Entrez dans le cockpit, Fragil vous emmène.

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29 octobre 2020

Un festival de musique sans concert ou presque, c’est possible !

Du 2 au 10 octobre 2020 s'est déroulé un festival de musique à Nantes - et oui ! -, un pari qu’à fait Pick Up Production pour cette édition particulière d’Hip Opsession Musique, sans concert ou presque. Après les bains de foule à Reboot l’année dernière, le festival s’adapte aux consignes sanitaires et met l’accent sur les valeurs de transmission et de partage du mouvement hip hop. Pour en savoir plus sur ce nouveau format, Fragil est allé à la rencontre d’Alexandre Le Clainche, chargé des relations aux publics dans l'association. Il nous en dit plus sur son métier, son engagement et sa vision de la suite.

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24 avril 2020

Ballet Bar, de la poussière sur le comptoir

Vendredi 28 février la 17e édition du festival Hip Opsession touchait à sa fin, et c’est au Capellia que le public familial de la Chapelle-sur-Erdre s’est retrouvé. Au programme, la cie Pyramid et son spectacle Ballet Bar, créé en 2011 puis revisité en 2017, pour un retour dans les années 80 ponctué de chorégraphies inspirées du break et du popping.

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9 avril 2020

À mon bel amour : soyons-fous, soyons-nous

Le 26 février dernier, la Soufflerie accueillait le spectacle de la chorégraphe et danseuse Anne Nguyen dans le cadre du festival Hip Opsession. Les 8 interprètes de la compagnie Par Terre ont donné à réfléchir sur l’idée même de la beauté et de ses représentations à travers plusieurs styles de danse. A suivre, l’interview de Sonia Bel Hadj Brahim.

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6 avril 2020

Iron Mike, une déclaration d’amour à la danse

A l’issue du Battle Opsession qui se déroulait les 21 et 22 février au Lieu Unique, Fragil est allé à la rencontre du danseur rennais Mike Hayford (alias Iron Mike), vainqueur de la catégorie Popping avec plus de 20 ans de carrière à son actif.

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13 mars 2020

Au Battle Opsession, lâchez-vous les baskets

Le vendredi 21 et samedi 22 février 2020 se tenait la 16ème édition du Battle Opsession au Lieu unique, événement de danse hip hop international et traditionnelle ouverture du festival Hip Opsession. Dorénavant dédié à la danse en février, il s’est déroulé ce même mois du 20 au 1er mars à Nantes.

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L'édito

Touche pas à mon info !

L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.

Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.

En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »


Valentin Gaborieau – Décembre 2017