12 juin 2019
À la découverte du Fact Checking au collège Simone Veil
Entre Janvier et Juin 2019, Fragil s'est rendu au collège Simone Veil pour mener une rédaction de fact cheking au coté d'une classe de 4ème.
Entre Janvier et Juin 2019, Fragil s'est rendu au collège Simone Veil pour mener une rédaction de fact cheking au coté d'une classe de 4ème.
Pour la quatrième année consécutive, l'association Fragil a animé l'atelier Expression & Médias qui propose aux étudiants et aux étudiantes de l'université de Nantes de s'adonner au journalisme.
Le 16 avril 2019, François-Xavier accompagné de Catherine, stagiaire de l'Association d'éducation aux médias Fragil se sont rendus au foyer de jeunes travailleurs de l'Edit de Nantes qui se trouve rue de Gigant dans le centre-ville Nantais.
Dans le cadre de ses journées numériques, le lycée professionnel Olivier Guichard de Guérande a sollicité Fragil pour mettre en place un atelier autour de l’identité numérique, de l’e-réputation et de l’empreinte numérique à destination de deux classes de seconde.
L’Afev, Association de la Fondation Étudiante pour la Ville, a sollicité Fragil pour animer et former des jeunes en service civique à l’animation d’ateliers d’écriture.
Dans le cadre de ses séjours pour enfants dont le but est de faire découvrir la ville à travers une enquête policière, l’association Corto Loisirs a sollicité Fragil pour mettre en place un atelier autour des fake news le mardi 23 octobre.
Dans le cadre d'un partenariat établi sur toute l'année scolaire 2018-2019, Fragil a animé une conférence au Point Information Jeunesse d'Orvault autour de Youtube et du métier de Youtubeur.
La rappeuse Pumpkin et le beatmaker Vin’S da Cuero organisent, avec Stereolux, Trempolino et le Voyage à Nantes, des ateliers gratuits pour tous les âges le dimanche 1er juillet dans le cadre de la nuit du Van. Fragil vous y invite chaudement !
Grâce à l'atelier Expressions et médias, Fragil intervient à l'université afin d'aider les étudiants volontaires à rédiger des articles pour le blog "la culture et vous".
L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.
Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.
En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »
Valentin Gaborieau – Décembre 2017