9 novembre 2023

Sport, musique, cinéma … voilà Numa

Numa, originaire de Rezé, entretient un lien indéfectible avec Nantes, sa ville natale. Amateur de sport, il vibre au rythme du FC Nantes à la Beaujoire. Sa passion pour la culture se nourrit grâce aux manifestations culturelles nantaises tel que, le Festival des Utopiales. Nantes est pour lui une source inépuisable d'inspiration et de découvertes.

Sport, musique, cinéma … voilà Numa

09 Nov 2023

Numa, originaire de Rezé, entretient un lien indéfectible avec Nantes, sa ville natale. Amateur de sport, il vibre au rythme du FC Nantes à la Beaujoire. Sa passion pour la culture se nourrit grâce aux manifestations culturelles nantaises tel que, le Festival des Utopiales. Nantes est pour lui une source inépuisable d'inspiration et de découvertes.

Les lieux qui font battre son cœur dans cette ville sont nombreux. Le stade de la Beaujoire, temple du football nantais, est l’un de ses endroits préférés. Il s’imprègne de l’effervescence des matchs du FC Nantes et vibre au rythme des exploits de son équipe favorite. Mais le sport ne s’arrête pas au football ; le terrain de basket de Trentemoult est un lieu où il passe de nombreuses heures à perfectionner ses compétences en basket et en football. 

Son lien profond avec Nantes existe depuis sa naissance. La ville lui a offert un cadre de vie riche en événements culturels qui ont marqué son parcours. Les Machines de l’Île, les créations démesurées de la compagnie Royal de Luxe, le Voyage à Nantes, et le Printemps Coréen ont tous contribué à forger sa passion pour la culture. 

Mais c’est le Festival des Utopiales qui l’a le plus marqué. Depuis son enfance, Numa assiste à cet événement et y a rencontré des auteurs de ses BD préférées, tels que « Lanfeust de Troy » et « Sillage ». Les Utopiales lui ont également offert l’occasion de découvrir des films et des courts métrages captivants.

Sa passion pour la culture s’exprime aussi dans ses jobs d’été. Il a participé à plusieurs événements culturels, dont les Francofolies, et a travaillé en tant que bénévole sur le festival des « 3 Éléphants » à Laval. Pour lui, les festivals sont l’aboutissement de son travail, un moyen de voir les gens s’amuser avec leurs amis tout en rencontrant leurs artistes préférés.

Pour rencontrer ses musiciens favoris, Numa a exploré la scène musicale nantaise avec passion. Il a pu assister aux concerts de 50 Cent, PNL, Jul et PLK ainsi qu’au Festival du Boomin Fest au Zénith. Les nuits nantaises l’attirent également, il passe la plupart de ses soirées entre le quartier Bouffay et le bar saisonnier « 40 pieds » à Gare maritime. 

Alors si vous voulez en apprendre plus sur la culture nantaise venez le lire sur Fragil !

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Du haut de ses 19 ans, Anouck Fily est passé par Paris, les Emirats Arabes Unis et Nantes. Elle adore la cuisine, le tennis et la BD mais surtout le journalisme. Anouck effectue actuellement une licence information-communication dans l'objectif d'être plus tard journaliste.

L'édito

Touche pas à mon info !

L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.

Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.

En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »


Valentin Gaborieau – Décembre 2017