29 janvier 2024

Entre les lignes de la culture et les lumières du cinéma : Zoé Manet

À tout juste 20 ans, Zoé Manet se distingue comme une personne très active dans le domaine de la communication. Passionnée par le cinéma, la culture et les arts, Zoé s’épanouit à travers la liberté d'explorer les sujets qui l'intéressent

Entre les lignes de la culture et les lumières du cinéma : Zoé Manet

29 Jan 2024

À tout juste 20 ans, Zoé Manet se distingue comme une personne très active dans le domaine de la communication. Passionnée par le cinéma, la culture et les arts, Zoé s’épanouit à travers la liberté d'explorer les sujets qui l'intéressent

Originaire de la campagne près de Châteaubriant, Zoé a opté pour la ville de Nantes comme lieu d’étude. Son parcours académique, marqué par des virages audacieux, débute avec un BTS communication qui ne correspondait pas à ses attentes. C’est finalement dans un Bachelor en communication à l’ISEG Nantes qu’elle découvre sa voie, et où elle s’épanouit actuellement.

Un parcours varié et enrichissant

L’expérience professionnelle de Zoé est tout aussi diversifiée que son parcours académique. Elle a enchaîné divers emplois, de l’animation dans un village vacances en Savoie à des postes chez Zara, Warehouse, Monoprix, Intermarché, et actuellement à la Cité Des Congrès. Cette dernière expérience, liée à l’événementiel, semble l’orienter vers son rêve ultime : travailler dans l’univers du cinéma.

Sociable et ouverte d’esprit

Mais Zoé ne se limite pas à ses activités professionnelles. Depuis 2019, elle est bénévole à La Nuit de l’Erdre, un festival qui tient une place particulière dans son cœur. Cette année, elle a également ajouté les Goûters Electro à sa liste d’engagements bénévoles, soulignant son désir de contribuer activement à des événements culturels. Trois mots décrivent le mieux Zoé selon son entourage : indépendante, curieuse et dotée d’une grande capacité d’adaptabilité et de sociabilité. Des qualités évidentes qui ne font qu’accroître son désir de travailler dans les relations presse ou l’événementiel, impliquant son interaction constante avec les gens et son ouverture d’esprit.

Ses passions dévouées à la culture

Nantes est le lieu où Zoé se sent chez elle, entourée d’opportunités culturelles et artistiques. Son amour pour la culture, les arts, le cinéma, la musique et la littérature est évident. Elle chérit la liberté d’explorer de nouveaux films, livres et musiques, ainsi que de participer à des expositions pour enrichir sa compréhension du monde. D’ailleurs, elle recommande très fortement le charmant village de Trentemoult pour savourer son atmosphère paisible et avoir « l’impression de partir en vacances » plus tôt que prévu.

Une porte ouverte à sa passion 

Pour elle, son choix de rejoindre Fragil représente bien plus qu’une simple aventure professionnelle. C’est une porte ouverte vers un univers où elle peut laisser s’exprimer sa créativité. Être membre de ce média lui offre la possibilité d’écrire des articles, de réaliser des reportages authentiques, et de les voir publiés, devenant une véritable satisfaction pour Zoé. Sa motivation réside dans le désir profond de créer du contenu, forgeant ainsi son parcours d’expérience et de découverte.

N’hésitez pas à aller la lire pour en découvrir davantage sur les sujets qui la captivent et la passionnent.

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L'édito

Touche pas à mon info !

L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.

Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.

En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »


Valentin Gaborieau – Décembre 2017